C’est par des verrières comme celle qui anime de ses couleurs la station de métro Champ-de-Mars que la peintre Marcelle Ferron (1924-2001) demeure présente dans l’imaginaire collectif. Ces immenses oeuvres, qu’on peut voir aussi à la station Vendôme, à l’hôpital Sainte-Justine ou au palais de justice de Granby, par exemple, ont un pendant méconnu, issu d’explorations réalisées dans l’intimité de l’atelier. En cette année de son centenaire de naissance, ces petits objets arrivent sur le marché.
Article paru dans Le Devoir par Jérôme Delgado